🌈 J Ai Tant Rêvé De Toi Robert Desnos
Jai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps Sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps exposé A toutes les apparences de la vie Et de l'amour et toi, la seule qui compte aujourd'hui pour moi, Je pourrais moins toucher ton front Et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu.
1900: naissance de Robert Desnos le 4 juillet à Paris ; J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans. doute que je m’éveille. Je dors debout, le corps. exposé à toutes les apparences de la vie et de. l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui. pour moi, je pourrais moins toucher ton front et . tes lèvres que les premières lèvres et le premier. front venus. J
RobertDesnos "j'ais tant rêvé de toi ""lecture du texte sur fond de musique et de vidéo , troublant . Les mains d'Elsa - Louis Aragon. Les mains d'Elsa Un texte de Louis d'Aragon interprété par Marc Ogeret Donne-moi tes mains pour l'inquiétude Donne-moi tes mains dont j'ai tant Léo Ferré (Louis Aragon) - L'étrangère
Jai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu'il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu'à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l'ombre qui se promène et se promènera allégrement sur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos Extrait de " Corps et Biens" Poésie/Gallimard
Jai tant rêvé de toi Robert DESNOS Recueil : “À la mystérieuse” J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton
Nousallons étudier un poème de Robert Desnos intitulé « J’ai tant rêvé de toi ». C’est une poésie consacrée à l’amour, le poète construit une figure féminine idéale qui ne sera jamais identifiée ni même identifiable sinon par l’amour qu’éprouve le poète pour elle. Il s’adresse directement à la femme aimée en quatre temps, chacun introduit par la reprise du titre
Jai tant rêvé de toi, de Robert Desnos. Ce poème, je le disais dans le spectacle La Liberté ou l’amour, produit par ma compagnie, Les enfants du paradis. En 1995, je l’ai joué dans le cadre du cinquantenaire de la disparition de Robert le diable. Lors de cette soirée était présent Michel Arbatz qui a, lui, présenté un récital chanté et adapté des textes de Desnos.
Jai tant rêvé de toi de Robert DESNOS dans 'À la mystérieuse' sur lectures, commentaires, recueils. J'ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d'atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m'est chère ? J'ai tant rêvé de toi q
Jai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu'il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu'à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l'ombre qui se promène et se promènera allégrement sur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos (1900 - 1945)
awkD. by • février 1, 2016 À la mystérieuse j’ai tant rêvé de toi J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant Et de baiser sur cette bouche la naissance De la voix qui m’est chère? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués En étreignant ton ombre À se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas Au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante Et me gouverne depuis des jours et des années, Je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps Sans doute que je m’éveille. Je dors debout, le corps exposé À toutes les apparences de la vie Et de l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, Je pourrais moins toucher ton front Et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu. J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, Couché avec ton fantôme Qu’il ne me reste plus peut-être, Et pourtant, qu’à être fantôme Parmi les fantômes et plus ombre Cent fois que l’ombre qui se promène Et se promènera allègrement Sur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos, Corps et biens », 1930
J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant Et de baiser sur cette bouche la naissance De la voix qui m’est chère? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués En étreignant ton ombre A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas Au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante Et me gouverne depuis des jours et des années, Je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps Sans doute que je m’éveille. Je dors debout, le corps exposé A toutes les apparences de la vie Et de l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, Je pourrais moins toucher ton front Et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu. J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, Couché avec ton fantôme Qu’il ne me reste plus peut-être, Et pourtant, qu’a être fantôme Parmi les fantômes et plus ombre Cent fois que l’ombre qui se promène Et se promènera allègrement Sur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos, in Corps et biens », 1926 + I have dreamed of you so much I have dreamed of you so much that you are no longer real. Is there still time for me to reach your breathing body, to kiss your mouth and make your dear voice come alive again? I have dreamed of you so much that my arms, grown used to being crossed on my chest as I hugged your shadow, would perhaps not bend to the shape of your body. For faced with the real form of what has haunted me and governed me for so many days and years, I would surely become a shadow. O scales of feeling. I have dreamed of you so much that surely there is no more time for me to wake up. I sleep on my feet prey to all the forms of life and love, and you, the only one who counts for me today, I can no more touch your face and lips than touch the lips and face of some passerby. I have dreamed of you so much, have walked so much, talked so much, slept so much with your phantom, that perhaps the only thing left for me is to become a phantom among phantoms, a shadow a hundred times more shadow than the shadow the moves and goes on moving, brightly, over the sundial of your life. + Il existe une version chantée du poème de Desnos, intitulée The Last poem » et interprétée par Sophie Auster There is a sung version of Desnos’ poem, titled The Last Poem » interpreted by Sophie Auster
AuteurMessageAngegardienNombre de messages 46Age 47Localisation RouenHumeur Il faut toujours avoir l'air d'être con si on veut pouvoir paraître intelligent de temps en d'inscription 24/09/2007Sujet Robert Desnos - J'ai tant rêvé de toi Lun 24 Sep - 1931 J'ai tant rêvé de toi que tu perds ta encore temps d'atteindre ce corps vivantEt de baiser sur cette bouche la naissanceDe la voix qui m'est chère?J'ai tant rêvé de toi que mes bras habituésEn étreignant ton ombreA se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pasAu contour de ton corps, que, devant l'apparence réelle de ce qui me hanteEt me gouverne depuis des jours et des années,Je deviendrais une ombre sans balances tant rêvé de toi qu'il n'est plus tempsSans doute que je m' dors debout, le corps exposéA toutes les apparences de la vieEt de l'amour et toi, la seulequi compte aujourd'hui pour moi,Je pourrais moins toucher ton frontEt tes lèvres que les premières lèvreset le premier front tant rêvé de toi, tant marché, parlé,Couché avec ton fantômeQu'il ne me reste plus peut-être,Et pourtant, qu'a être fantômeParmi les fantômes et plus ombreCent fois que l'ombre qui se promèneEt se promènera allègrementSur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos, "Corps et biens". AngegardienNombre de messages 46Age 47Localisation RouenHumeur Il faut toujours avoir l'air d'être con si on veut pouvoir paraître intelligent de temps en d'inscription 24/09/2007Sujet Demain Lun 24 Sep - 1931 Âgé de cent-mille ans, j'aurais encore la forceDe t'attendre, o demain pressenti par l' temps, vieillard souffrant de multiples entorses,Peut gémir neuf est le matin, neuf est le depuis trop de mois nous vivons à la veille,Nous veillons, nous gardons la lumière et le feu,Nous parlons à voix basse et nous tendons l'oreilleA maint bruit vite éteint et perdu comme au du fond de la nuit, nous témoignons encoreDe la splendeur du jour et de tous ses nous ne dormons pas c'est pour guetter l'auroreQui prouvera qu'enfin nous vivons au présent. Robert Desnos État de veille, 1942 Angel of the dreamAdminNombre de messages 69Age 33Localisation 3ème étoile à droiteEmploi/loisirs la poésie est ma vieHumeur réveuseDate d'inscription 16/09/2007Sujet Re Robert Desnos - J'ai tant rêvé de toi Lun 24 Sep - 2121 Angegardien a écrit J'ai tant rêvé de toi que tu perds ta encore temps d'atteindre ce corps vivantEt de baiser sur cette bouche la naissanceDe la voix qui m'est chère?J'ai tant rêvé de toi que mes bras habituésEn étreignant ton ombreA se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pasAu contour de ton corps, que, devant l'apparence réelle de ce qui me hanteEt me gouverne depuis des jours et des années,Je deviendrais une ombre sans balances tant rêvé de toi qu'il n'est plus tempsSans doute que je m' dors debout, le corps exposéA toutes les apparences de la vieEt de l'amour et toi, la seulequi compte aujourd'hui pour moi,Je pourrais moins toucher ton frontEt tes lèvres que les premières lèvreset le premier front tant rêvé de toi, tant marché, parlé,Couché avec ton fantômeQu'il ne me reste plus peut-être,Et pourtant, qu'a être fantômeParmi les fantômes et plus ombreCent fois que l'ombre qui se promèneEt se promènera allègrementSur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos, "Corps et biens". ROOOH zut c'est le poéme que je voulais mettre _________________Ma vie c'est comme ma plume dés que je m'arête d'écrire je meure ...Un jour, le petit ange tombe de son nuage ...Mais il est rattrapé de justesse par des petites zailes ^^Depuis, j'ai besoin de toi comme un ange a besoin de ses ailes pour s'envoler ...Je t'aime mes petites zailes ! Contenu sponsorisé Robert Desnos - J'ai tant rêvé de toi
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